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J’ai eu l’occasion d’effectuer le Chemin de Saint-Privat-d’Allier à Saint-Jean-Pied-de-Port du 15 septembre au 12 octobre 2016. Je suis hébergeant, avec Michèle, ma compagne à « l’Abri du Jacquet » à Saint-Privat-d’Allier (pour ceux qui se sont arrêté pour une nuit…). Je suis donc parti de la maison…
Je ne témoignerai pas sur ce que le Chemin apporte, les rencontres, le bien-être, etc., etc… Je veux ici pousser un « GRAND COUP DE GUEULE » par rapport à ce que l’on voit sur le chemin. Quelle honte toute cette pollution aux papiers, emballages, boîtes de conserve, bouteilles vides… Si vous pensez être perdu, vous avez un 2ème balisage. Suivez les déchets, il y en a presque plus que de balises rouges/blanches… J’ai HURLÉ mon désespoir. Le Chemin m’y a autorisé. Pourtant je suis plutôt réservé !!! Mais là, il fallait que je laisse éclater mon désarroi.
Pourtant, il s’agit d’une des premières discussions qui vient lors des partages entre pèlerins. Quel BONHEUR de marcher dans la NATURE, de vivre au rythme de la NATURE, de s’y sentir en symbiose… Que de BELLES PAROLES !!! UTILISEZ DES POUBELLES AUX ÉTAPES. CONCERVEZ SUR VOUS VOS DÉCHETS ET JETEZ-LES SOIT À LA PAUSE DANS UNE POUBELLE, SOIT À L’ARRIVÉE
Fidèle lecteur du bulletin du camino, je devais réagir aux articles qui traitent, malheureusement trop souvent, des mêmes sujets : parcours détournés, aigrefins de tout genre, chemin qui perd son âme, pèlerins et pèlerines « fashion victims », commerces et « marchands du temple » trop présents, conflits dans les gîtes entre ceux qui portent leur sac et ceux qui les font porter…, etc…
J’ai parcouru plusieurs fois le camino depuis 2010. SAINT-RAPHAEL, ARLES, LE SOMPORT, LE PUY EN VELAY par RONCEVAUX, LISBONNE SANTIAGO, etc… J’ai même marché sur le chemin de DAMAS et fait la voie de TOURS, en partie.
Depuis bien longtemps j’ai compris que sur le chemin il ne fallait pas être naïf. Bien sûr, il faut partager et respecter les règles propres à tout VRAI pèlerin, mais ne pas tomber dans le piège de la pitié, voire même de l’assistanat et, dans un autre domaine, ne surtout pas respecter à la lettre, sans réfléchir, fléchages et autres indications purement commerciales.
Fort de mon expérience, j’applique la règle des anciens pèlerins : le chemin le plus direct est toujours le meilleur. Bien entendu, si la sécurité et les obstacles naturels le permettent. Consulter la carte de temps en temps est très important, tracer son chemin la veille en se renseignant auprès des locaux, ainsi vous éviterez de mauvaises surprises.
Quant aux « escrocs », il est aisé de les repérer. La plupart du temps ils vous diront qu’ils font le chemin inverse (ainsi vous ne risquez pas de les revoir), qu’ils ont un problème de famille ou qu’ils sont malades. Ils sont presque toujours ou très propres, ou très sales et surtout ils n’aiment pas que vous leur parliez de leur itinéraire passé.
Pour les gîtes, il y a des « Thénardier », le mieux pour les éviter est de ne pas réserver à l’avance, vous trouverez toujours des places. Actuellement, les gîtes sont nombreux. Prenez le temps, une fois sur place, de visiter et de vous renseigner. Avec les établissements municipaux il n’y a pas de problème même si, parfois, le confort est plus spartiate. Étant hospitalier de temps en temps, je connais le problème de l’intérieur.
Dernier conseil, méfiez-vous des « gentils organisateurs » de repas ou d’activités à l’étape, ce sont souvent des profiteurs et, sans vous en rendre compte, vous leur payez repas, gîte et visite du musée ! En conclusion, si vous voulez être tranquille et faire un chemin agréable, soyez relativement solitaire, choisissez avec soin et avec prudence vos compagnons de marche. N’hésitez pas à vous en séparer si l’harmonie et la confiance ne sont pas parfaites. La
vulgarisation du chemin a, malheureusement, entraîné son lot d’inconvénients.
Loin de moi l’idée de paranoïa, mais les nombreuses situations que j’ai vécues m’ont enseigné cette prudence et m’encouragent, avec le recul, à continuer de procéder ainsi. À l’occasion de mes différents chemins, j’ai vécu toutes ces situations et bien d’autres. Vous pouvez me contacter si vous désirez des renseignements sur les chemins que j’ai parcourus, ou sur des cas précis. Je peux même vous transmettre les notes prises lors de ces caminos.
rv83@aliceadsl.fr
Dans tous les cas, ce fut des moments de partage et d’amitié merveilleux. ULTREÏA
Je réagis au petit article « DOMMAGE »… et, hélas, je vais « en rajouter une louche ». Je viens d’achever le « CAMINO DE LEVANTE » et, à part un excellent accueil du curé de Hernansancho, mon opinion sur l’Église d’Espagne et ses dignes représentants sera peu charitable : elle est à l’image de ses lieux de culte :
CERRADA(S). Le contraste avec ce que je j’ai vécu en Italie (Chemin d’Assise et de Rome) est saisissant.
(J’ai atteint Santiago après 5 656 km). J’ai tenté de comprendre… et l’explication me semble évidente : les pèlerins marchant de moins en moins pour des motifs religieux, ils ne sont donc plus une “clientèle” intéressante. CQFD ! Je souhaite aux communautés paroissiales d’Espagne et à leurs pasteurs un bon examen de conscience ! Merci pour votre revue !
Christian WIJNANTS, prêtre (BRUSSELS)
Mon cher Jacques, tu as raison quand tu dis que tu ne souhaites plus marcher sur les autoroutes à peregrinos… Moi quand je veux être au calme et sans embrouille, je prends ma « muchila » je quitte les grands axes, les autoroutes à peregrinos. Je vais entre Paris et Tours par Chartres, je vais sur la voie de Vézelay entre La Charité et Limoges, ou dans les Landes, je vais dans les Cévennes sur le chemin de Saint-Gilles, je vais sur la voie d’Arles, sur la Plata entre mars et mai, c’est un vrai régal, je vais sur les chemins du Piémont dans les Pyrénées…
Adieu foule en délire, adieu le grand carnaval, adieu rabatteurs de tout poil, ces sentiers-là, c’est la tranquillité assurée. C’est au mieux une rencontre par jour, au pire pas de rencontre, je suis un solitaire, quelquefois des discussions dans les petits commerces de proximité, petits bars et restaurants ouvriers où
règne la convivialité.
Je marche à mon rythme, je n’entends plus les plaintes d’hébergeurs qui pensaient (pour certains) faire fortune en ouvrant un gîte, ou qui poursuivent systématiquement ceux qui seraient donativo au motif que le rêve de leur vie n’a jamais été atteint, qu’il faut se venger sur le voisin hébergeur (suivez mon regard du côté de Sénergues) et que le tiroir-caisse est vide. Ils n’ont qu’à s’assurer ailleurs sur la maladie. L’Europe permet de s’assurer (pour la maladie) où on le souhaite en Europe, adieu R.S.I. qui vient te voler 50 % du fruit de ton travail, adieu Racket Sans Interruption… Bien amicalement mon cher Jacques que ton Saint patron très glorieux te garde encore 30 ans (ou plus encore) dans la Paix des chemins que nous partageons ensemble !
François Lepère
Pour répondre à « marie.gagneur arobase club-internet.fr » sur le bulletin 173 : je suis randonneuse, certes chrétienne et baptisée, mais surtout respectueuse, et je ne vois pas pourquoi, non pratiquante, il me serait « interdit » de randonner sur le Chemin, de visiter les villages, les églises, les cathédrales, les musées, etc. que je vais y trouver. J’y retourne aussi et surtout pour l’ambiance, les rencontres, les échanges que l’on peut y faire, mais ma démarche n’est aucunement un pèlerinage. Chacun amène sa pierre sur ce chemin. La dépose ou non. Quant au côté mercantile, nous avons notre libre arbitre de cautionner ou pas certains.
J’ai fait pas mal d’itinérances, le tour de la Vanoise, du Beaufortain, le Larzac, le mur d’Hadrien, le Queyras, le Mercantour, arpenté bien des collines de ma région, et j’ai même marché sur le sentier des Huguenots ! Ce qui compte, ce sont les rencontres que l’on fait en chemin, quel qu’il soit, et qui prennent une autre dimension. J’ai souvent voyagé seule à travers le monde, les rencontres étaient brèves, mais intenses. Et pour moi, c’est la dimension du voyage. Le Chemin de Compostelle ? On y rencontre le monde entier, et c’est cela aussi qui fait son attrait. Peut-être suis-je chrétienne dans l’âme sans le savoir ?!!!
Bref, aller vers l’Autre est primordial pour moi, quel que soit le chemin : peu importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse !!!
cehemme@hotmail.com
Moi aussi je trouve dommage de payer pour entrer dans une église sur le chemin, et pourtant…
Pensons-nous à ce que coûte l’entretien de tels bâtiments ? Toitures, sculptures, peintures, fresques, vitraux et plus encore. Combien de nos églises de village sont actuellement en passe d’être détruites ou vendues parce que les communes n’ont plus les moyens de les entretenir ? Alors OUI, s’il faut donner mon obole en
visitant une église, je l’accepte volontiers pour permettre de sauvegarder ce patrimoine humain, culturel et religieux qu’il serait si DOMMAGE de perdre.
Annie du chemin, pèlerine ultreiaverslesetoiles.eklablog.com
Après Saint-Privat-d’Allier, voici que la jalousie de quelques professionnels de l’hébergement de loisirs gagne l’Aveyron… Le modèle d’hébergement donativo, à nul autre pareil, serait-il illégal, alors que les bénévoles se comptent par millions en France ? Si le bénévolat était interdit, cela se saurait… Il reste que rien n’est plus frustrant que de se retrouver devant un gendarme pour se justifier, qui est en général bien conscient qu’il a beaucoup mieux à faire que d’instruire une plainte aussi mesquine qu’ubuesque. La tentation est forte de baisser les bras… De grâce, Amis hébergeurs donativo, ne lâchez rien ! Vous êtes l’une des richesses principales du chemin. C’est vous qui suscitez nos plus belles rencontres et entretenez la magie du Chemin ! À qui s’adresser pour avoir un conseil désintéressé ? Au risque de fâcher quelques professions, on serait tenté de répondre : ni à un comptable ni à un avocat… Ni l’un ni l’autre n’exercent en général leur activité bénévolement. Ce n’est pas anormal, mais il n’est pas interdit de penser que les conseils qu’ils pourraient dispenser pourraient être plus profitables à leur portemonnaie qu’à celui de leurs clients… Un comptable aime compter. Un avocat aime plaider. C’est humain…!
La solution est sans doute dans le choix du statut associatif. Dès lors que ses statuts indiquent très clairement le caractère totalement bénévole de l’activité d’accueil exercée et que ses revenus se composent exclusivement des dons laissés par les pèlerins pour participation aux frais, les textes publiés par l’administration fiscale sont très clairs : les critères de non lucrativité d’une association sont réputés acquis, ce qui devrait mettre les accueils donativo à l’abri des conséquences de futures dénonciations ou plaintes.
Autre avantage de la formule : les frais engagés pour l’aménagement ou le fonctionnement de l’accueil peuvent être pris en charge par l’association, mettant également les accueillants à l’abri de déboires éventuels avec le fisc, à titre personnel cette fois.
L’accueil donativo est l’une des grandes richesses du chemin, il faut absolument le préserver.
François Scherpereel
PS. : Peut-être y a-t-il parmi nos lecteurs des personnes qui ont choisi le statut associatif pour organiser leur accueil, et qui pourraient partager leur expérience en la matière…
Avis à la population !
François Scherpereel f_scherpereel@orange.fr
En Auvergne, dans la Drôme, dans les Alpes, en Languedoc, dans l’Aude…
Partout apparaissent « des chemins de Saint-Jacques »… Pourquoi pas ? Si cela leur fait plaisir. Mais retrouver une coquille dans une vieille tombe d’un cimetière, ou en retournant son potager ne veut rien dire.
Certain espère surtout une manne touristique tombée du ciel. Si faire du commerce n’est pas illicite ou illégal, il faut respecter les règles d’honnêteté, de courtoisie, et les lois en vigueur décidées par le Législateur. Personne n’oblige personne à acheter, personne n’oblige personne à dormir dans tel hôtel plutôt
que tel autre. Tout le monde doit gagner sa vie, et travailler. C’est aussi une source d’épanouissement personnel. Ne soyez pas trop naïf, les chemins vers Compostelle sont multiples, marchez ou cela vous fait plaisir et ou il est possible de se loger à prix corrects.
Jean Devillard (Béziers)
L’association « Compostelle 45 », en partenariat avec le magasin Mountera, spécialisé dans les Randonnées et Trekkings longs, organise une rencontre avec le public à Orléans, pour renseigner les personnes intéressées sur les différentes voies de Compostelle, dont l’une passe par le Loiret et Orléans.
Le Samedi 1er avril 2017, de 10h à 18h chez Mountera, 11 rue Claude Lewy à Orléans.
Des membres de l’association seront présents toute la journée pour répondre aux questions et conseiller ceux qui s’intéressent aux chemins de Compostelle : soit par simple curiosité, soit pour l’emprunter.
Un diaporama Conques – Rocamadour – Moissac par Martine, Jacqueline, Michèle, Anne.
Des informations et supports seront proposés. Entrée libre.
Compostelle 45 est une association 1901 qui aide et accueille les pèlerins en partance d’Orléans, ainsi que ceux déjà en chemin.
Contact – http://www.compostelle45.fr – compostelle45@gmail.com
Téléphone – 06 77 816 770 – page facebook : compostelle45
Culture jacquaire
L’association Meuse-Compostelle organise une exposition photos à la salle des fêtes de l’hôtel de ville à Bar-le-Duc du 24 au 26 mars 2017. Le 24 mars, à 20 h, dans cette même salle, Monsieur Patrick Demouy, professeur émérite d’histoire médiévale à l’université de Reims donnera une conférence « le pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle au Moyen Âge »
ghislaine.dumenil@free.fr
Vient de paraître : Entre Saint-Jacques-de-Compostelle et Sainte-Anne-de-Beaupré. La marche pèlerine québécoise depuis les années 1990 de Michel O’Neill
(2017), Québec, Presses de l’Université Laval, 254 p.
Le sociologue et pèlerin québécois y décortique le phénomène à la fois en Europe et au Québec. L’ouvrage présente aussi les 18 chemins québécois en place à l’été 2016.
Plus d’informations : http://www.pulaval.com/produit/lamarche-pelerine-quebecoise-depuis-les-annees-1990
On peut aussi y acheter en ligne les versions électronique ou tablette. Distribution de la version papier
en France : http://www.librairieduquebec.fr/;
en Belgique: patrimoine arobase telenet.be;
en Suisse: www.servidis.ch
Réservez vos dates pour cette manifestation annuelle au Forum104 (104 rue de Vaugirard, 75 006, Paris), qui devient le carrefour des chemins de pèlerinage. Au programme : 2 tables rondes (« Le chemin qui guérit » avec Bernard Ollivier, Claire Colette et Nicolas de Rauglaudre ; et « On ne revient pas comme on est parti »), stands d’associations et dédicaces de livres, exposition de l’association Seuil, remise du Prix Pèlerin du témoignage (mention « En chemin ») à Bernard Ollivier et Bénédicte Flatet, « Messe du pèlerin », repas festif, jeu de piste dans Paris sur les traces des pèlerins du Moyen Age. Un événement coorganisé par l’hebdomadaire Pèlerin et le Forum104, en partenariat avec Compostelle 2000.
Rens : 01 45 44 01 87 (Forum104) – itinera@club-internet.fr – www.pelerin.com (rubrique « Pèlerinages »)
Le salon des randonnées « Destinations nature » aura lieu à Paris (porte de Versailles) du jeudi 16 au dimanche 19 mars. Comme chaque année, le stand « Chemins d’étoiles » sera consacré aux chemins de pèlerinage : chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, du Mont-Saint-Michel, de Chartres, de saint Martin, du Tro Breiz, de Saint-Gilles, d’Assise, de Rome, Sentier des Trois abbayes en Brocéliande, etc.
Deux conférences sur ce thème sont organisées : vendredi 17 mars à 17 h, « Le pèlerinage de Shikoku, chemin sacré du Japon : 1200 km, 88 temples » par Marie-Edith Laval (avec l’hebdomadaire « Pèlerin ») ; dimanche 19 mars à 15 h, « Les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle : avant, pendant et après » (avec Compostelle 2000).
Un large choix de livres sera proposé, notamment les guides des éditions Lepère.
Du 16 au 19 mars – 10 h à 19 h (fermeture à 18 h le dimanche) Porte de Versailles – Parc des Expositions
Rens. : www.destinations-nature.com Invitations gratuites à télécharger sur www.cheminsdetoiles.com
J’ai terminé en 2016 le Chemin du Puy-en-Velay à Santiago puis Fisterra et Muxia. Quelle belle aventure ! J’envisage de commencer un nouveau chemin en juillet 2017 au départ d’Amsterdam via Bruxelles, Paris, Bordeaux puis le Camino Norte. J’ai des difficultés pour trouver et réserver des hébergements aux Pays-Bas et en Flandre car je ne pratique pas le néerlandais et il n’existe pas de guides en français pour la Floris V-pad et le GR 12. Si des pèlerins ont déjà parcouru ce Chemin, je suis preneur pour leurs informations. J’ai déjà établi 15 étapes pour relier Amsterdam à Bruxelles, il ne me reste plus qu’à trouver les hébergements. Merci de me contacter à l’adresse mail :
benizeauguy@aol.com (Guy)
Je m’apprête à faire le pèlerinage de Bénévent-l’Abbaye à Rocamadour au printemps 2017. Ce parcours n’est
pas équipé d’hébergements pour pèlerins. Nous sommes deux dames et nous souhaitons être hébergées de
préférence chez l’habitant sympathisant. Pouvez-vous nous les faire connaître? Merci par avance pour votre
aide. Bernadette profitroll@wanadoo.fr
Nicole et Daniel hésitent entre le chemin Mozarabe au départ de Almeria et le chemin du Levant au départ de Valence en AVRIL et MAI, nous aimerions
avoir l’avis de nos prédécesseurs : guides, auberges, balisage, etc…
Merci à vous et « BUEN CAMINO à tous ! »
daniel.jacquinot@sfr.fr
Nous sommes 2 marcheuses (65 et 70 ans) désirant cheminer départ de Vienne en Autriche, arrivée à Salzbourg. Qui peut donner des informations pour préparer ce pèlerinage, étapes, hébergements et autres ?
lomasiche@gmail.com
À VENDRE Gîte 6 places sur la voie d’Arles (Aude).
Pour des raisons personnelles, je mets ma maison équipée pour l’accueil de six pèlerins à vendre : une chambre partagée avec quatre lits et une chambre deux lits + sanitaire non privatif. Coin cuisine, jardin et terrasse. À 1,2 km du GR653, entre Castres et Toulouse. Contact La Passeur-elle 04 68 23 17 71.
lambchris@orange.fr
Je suis à la recherche sur le chemin du Puy d’une photo à Aubrac de la cloche Marie, dite « la cloche des perdus »… Je ne trouve aucun cliché sur internet,
et les photos que j’ai prises sont de très mauvaise qualité… et j’aimerais bien voir une partie de la gravure « revoco errantes ». Un pèlerin de Camino peut-il me dépanner ? Je reste à votre disposition….
Merci à tous emmadd@orange.fr
Bordeaux Compostelle Hospitalité Saint Jacques.
Maison Du Pèlerin. 28 rue des Argentiers a Bordeaux
Recherche des «Hospitaliers» du 20 mars 2017 au 23 octobre 2017. Période de 8/15 jours (du lundi 11h au lundi suivant 11h. Chambre particulière pour les hospitaliers).
Accueil/Refuge de 12/13 places en box de 2 places.
Coin cuisine, sanitaires. Commerces et toutes commodités à proximité.
Les permanences sont effectuées pour toutes les périodes par 2 hospitaliers. Pour toutes informations
contacter Jean Lou. Mail : jeanlou33@orange.fr Téléphone : 06 03 87 40 54
Hospitalité Chrétienne d’Estaing (12 190), pour la saison qui démarre.
Contacter : 05 65 44 19 00.
Attention il faut savoir qu’être hospitalier c’est accepter d’aider les autres, de faire la vaisselle, préparer les repas, ranger, nettoyer… et passer aussi le balai quand les pèlerins sont partis de bon matin… C’est un service et comme tout service c’est accueillir les autres, transmettre des valeurs… à ceux qui mettent « leur pas dans ceux des anciens » qui ont façonné les chemins vers Compostelle, la France et l’Europe jacquaire… Alors ?? en avant ??
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