Bulletin Camino novembre 2015

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CAMINO

159 NOVEMBRE 2015
bulletinCamino@aol.com
« Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais, d’un pas ferme » (saint Augustin).

Saint-Sauvant (86600, 38 km au sud de Poitier), refuge jacquaire à vendre en Poitou ; 250 pèlerins en 2014 ; 300 en
2015. Tél : 05 49 37 16 49. Très beau potentiel d’expansion.
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Erratum, la vidéo proposée dans le Camino d’octobre 2015 par M. Daniel Borzakian à propos du Camino portugais est à cette
adresse : http://youtu.be/n5zNbICh1qY

AIDONS-LES !!

À Saint-Privat-d’Allier, le refuge « donativo » chez Jean-Marc et Marie Lucien est fermé… il sera repris à partir du 1er janvier 2016, sous le nom : « L’abri du Jacquet », chambres et table d’hôtes, chez Alain Debris et Michèle Eulier, tél : 06 15 21 78 21. 15 places. Tarifs nuit et PDJ 17€, 1/2 pension 30€. Ouvert toute l’année, mais téléphoner avant du 15 octobre au 15 mars.

Trouvé ! Hospitalière à Vézelay, la première semaine d’octobre, j’ai trouvé dans le local de l’ordinateur une petite sacoche noire à deux soufflets de marque ISO. Si vous vous reconnaissez vous pouvez m’écrire à cette adresse : mamyblue13@wanadoo.fr et je me ferai un plaisir de vous renvoyer le tout à l’adresse que vous m’aurez indiquée après avoir vérifié que vous êtes bien le propriétaire de ce matériel.
Giselle

D’Henry Branthomme, pionnier des pionniers, originaire du Mans, est un des mousquetaires à l’origine de la vague jacquaire partie milieu du XXe siècle.
« Le pèlerinage est une chance dans la vie, un peu comme des vacances pour des personnes qui travailleraient durement et qui ont besoin de refaire leurs forces physiques, intellectuelles, spirituelles ou morales. C’est une interruption vitale. Le pèlerin, par le fait, devient « étranger » à son courant de vie ordinaire ; et cet état va pouvoir permettre soit un changement total de ses habitudes, si cela est nécessaire, soit un renforcement de convictions ou de manières de faire qui sont déjà bonnes, mais qui ont besoin d’être épaulées, renouvelées, mieux adaptées aux situations de chacun. Le pèlerinage est un relais dans l’existence qui permet à chacun de mieux se situer par rapport à son idéal de vie. Il permet de se voir et se sentir comme « étranger » à une vie, comme une « vis sans fin » qui vous entraîne malgré nous. Ainsi le pèlerin, pour dire « étranger » à lui-même, « devient étrange » aux yeux de ceux qui le voient passer. Cet « état » de pèlerin permet donc à celui qui est « en route » de changer ses habitudes, de trouver d’autres personnes qui sont, comme lui, en recherche d’une âme neuve ou renouvelée. La marche corporelle, si normale à tout homme, que l’on s’impose dans le pèlerinage, va entraîner par elle-même une marche de l’esprit… et, par le fait, mieux rejoindre cet Esprit qui « planait sur les eaux » lors de la création.
Le pèlerin se laisse ainsi pénétrer par l’Esprit qui fait de lui un homme nouveau sensible au Créateur et au Rédempteur. Créature temporelle, aussi, le pèlerin, comme tous, ne peut se détacher entièrement de son corps, du physique, du visible, de l’audible, du sensible, il a besoin de relais du même type, comme autant de marches d’un escalier pour monter à l’étage supérieur. Il a besoin de faire effort et souffrir pour cela. Ces relais sont les sanctuaires rencontrés au cours de route qui donnent à réfléchir. Il a besoin des contrariétés et des aléas qui peuvent s’abattre sur lui. Il doit dépasser beaucoup d’éléments pour monter plus haut. Le relais principal entre terre et ciel sera, de toute évidence, le sanctuaire final vers lequel on marche. Sanctuaire final qui évoque un saint, une relique, le lieu d’un martyre ou d’une vie exemplaire… Et même s’il ne reste plus de cendres de celui-ci ou de celle-là, peu importe, l’âme est ailleurs, dans un monde qui existe et dont nous n’avons aucune idée, tellement il nous dépasse. Mais, comme notre humanité est faite de corps et d’âme, elle a besoin d’un support physique, tel qu’une statue, une chapelle, une basilique… quelque chose qui parle à nos sens. C’est en cela que réside la nécessité d’un sanctuaire qui physiquement comme spirituellement, nous rapproche de Celui qui, au Ciel, nous attire et se prête à nous aider, chacun selon ses besoins, qu’ils soient personnels ou collectifs. La foi qui peut transporter des montagnes met tout en jeu dans le pèlerinage et permet aux hommes simples, que nous sommes tous, de réaliser des choses énormes, soit en chacun de nous, soit dans les collectivités qui nous accompagnent… »
Texte offert par Jacques CHEVALET (+), Ancien Président de l’association jacquaire de Chartres.

RCF45 et RCF41 recherchent pour l’émission Circulez y’a rien à voir des pèlerins qui prendront la route prochainement.
L’objectif est de faire une pastille de 3 à 4 minutes chaque semaine pour faire partager les rencontres, les paysages et leurs réflexions tout au long de leur route.
Si vous souhaitez témoigner écrivez-nous à circulezyarienavoir@rcfloiret.fr

Je vous fais parvenir cette petite mise au point personnelle à la suite de l’article paru dans votre bulletin Camino n° 157 de SEPTEMBRE 2015 (les plaintes de deux pèlerins français de 75 ans sur leur accueil à Compostelle).
Cela fait maintenant plusieurs années que je « travaille » en tant que volontaire bénévole au Bureau d’Accueil des Pèlerins rue de Vilar à Santiago où j’ai le grand plaisir (et honneur) de délivrer le document en latin connu sous nom de Compostella.
Cette délivrance répond à des règles maintenant bien connues de la plupart des pèlerins, c’est-à-dire principalement d’apporter la preuve que les 100 derniers kms avant Santiago ont bien été réalisés à pied (ou les 200 derniers kms à bicyclette), et de déclarer que ceci a été effectué pour des motifs religieux ou spirituels (dans le cas contraire c’est-à-dire pour des motifs touristiques ou sportifs, nous délivrons un simple certificat de bienvenue – également en latin –, sans mention religieuse).
Bien entendu nous nous basons sur la crédential qui nous est présentée et qui doit être revêtue de cachets depuis le premier jour de pèlerinage (qui pour certains a débuté à leur domicile pouvant se situer à des centaines ou des milliers de kms de Santiago).
Plus le point de départ est proche de 100 kms (par exemple de Sarria à 116 kms sur le Camino Francés, de Tuy à 115 kms sur le Camino Portugués, d’Ourense à 104 kms sur la Via de la Plata, etc), plus nous nous attachons à la présence de 2 à 3 cachets pour chaque jour de marche (variant entre 3 et 5 jours pour cette petite centaine de kms).
Tout cela n’est quand même pas très contraignant et relève du bon sens, et a pour but d’éviter des abus manifestes.
Nous présumons de la bonne foi de nos interlocuteurs, et en cas de doute en faisons part au ou à la responsable présent(e). J’ai travaillé tout ce mois de juillet 2015 dans ce bureau et nous avons reçu par jour entre 1300 (le jour le moins chargé) et 2400 pèlerins (notre record de juillet 2015, au cours duquel a été fêtée en présence des journalistes de la presse écrite et de la télévision l’arrivée du 100 000e pèlerin à Santiago depuis le 1er janvier de cette année 2015 qui devrait battre le nombre de pèlerins de 2014 soit 250 000 environ).
Je me souviens particulièrement avoir reçu le 18 juillet 2015 un groupe d’une quarantaine de personnes âgées espagnoles (entre 70 et 80 ans) – elles avaient chacune exactement la même crédential et les mêmes cachets, plus d’une cinquantaine et étaient parties ensemble de Roncevaux pour arriver ensemble à Santiago. A priori pas de problème sauf quand j’ai constaté que le cachet de Roncevaux remontait au 8 juillet soit 10 jours avant… Quand j’ai demandé si tout avait été fait à pied il m’a été répondu et confirmé les yeux dans les yeux que oui… Je les ai d’abord félicités car marcher plus de 70 kms par jour pendant 10 jours pour des personnes de cet âge, c’est tout de même admirable (rappel : la distance officielle à pied de Roncevaux à Santiago est de 750 kms). J’ai encore regardé les crédentiales et j’ai constaté que la veille soit le 17 juillet figurait le cachet de Léon soit une ville située à plus de 300 kms de Santiago – ce cachet était suivi de plus d’une quinzaine d’autres cachets attestant le passage dans différentes villes ou villages entre Léon et Santiago. Malgré ces impossibilités manifestes, personne n’a voulu reconnaître clairement que tout ou presque avait été fait en bus avec accompagnement d’un guide. Bien entendu nous n’avons finalement délivré aucune Compostella à ce groupe abusif.
Ce n’est peut-être pas exactement le cas présent mais il serait intéressant de connaître au moins la date de départ de St-Jean-Pied-de-Port et d’arrivée à Santiago de nos deux sympathiques amis français de 75 ans. Ils n’ont peut-être pas compris exactement ce que leur a dit leur interlocutrice, qui ne parlait pas forcément mieux le français qu’eux ne parlent espagnol et tout cela résulte d’un simple malentendu qui ne devrait pas gâcher une belle expérience. Personnellement je n’ai jamais vu un ou une employée « lancer » une crédential sur le comptoir.
Je trouve dommage qu’après avoir marché au minimum plusieurs semaines, ils soient arrivés dans un tel état d’énervement non justifié (que signifie une attente de « plus de ¾ d’heure », est-ce un tel scandale, la plupart des pèlerins profitant agréablement de ces derniers moments dans la cour ombragée pour discuter et comparer leurs expériences respectives, aux anges d’avoir enfin touché le but).
Et que penser du fait de repartir de Santiago « dépité », sans même avoir revu et visité la cathédrale ? ? Ceci est difficilement compréhensible – peut-être le pèlerinage mériterait-il d’être refait dans un autre état d’esprit, cela ne serait pas inutile. C’est un conseil que je me suis parfois autorisé à donner à certains pèlerins qui me semblaient ne rien avoir appris et compris au cours de leur périple.
NB : ces remarques d’un simple employé occasionnel et bénévole du Bureau des Pèlerins à Santiago ne sont bien sûr qu’un avis strictement personnel et n’engagent en rien les instances officielles.
Bernard ESCRIVA bndescriva@gmail.com

CAMINO FRANCÈS: “Rafraîchissons notre mémoire en Europe”

Le premier congrès international concernant le Camino de Santiago fut célébré à Jaca (Espagne) en septembre 1987. Dans la reproduction de ses Actes, le Congrès aborde l’HOSPITALITÉ sur le Camino et la considère comme un aspect très différent sur lequel toute attention doit être portée, l’estimant importante et préférentielle. Les gîtes d’étape et refuges sont définis dans leur localisation, installations minimes, entretien, conservation et financement, devant être considérés comme les éléments essentiels de la route jacquaire, prioritaires et indispensables pour la figure et la vie du Camino en soi.
Le congrès attire aussi l’attention sur la nécessité d’un ensemble d’efforts, par le biais de l’Église, des Mairies, des Associations, et aussi des particuliers, pour maintenir ces lieux d’accueil destinés uniquement aux pèlerins marchant vers Compostelle, donnant préférence à la réhabilitation d’anciens hôpitaux de pèlerins. Ceux-ci devront offrir aussi le menu du pèlerin conforme à la gastronomie de la zone et raisonnable dans son tarif.

Le deuxième congrès International concernant le Camino de Santiago fut célébré à Estella (Espagne) en septembre 1990, devant une importante audience représentée par des spécialistes de la recherche, des écrivains, de nombreux pèlerins de tout âge, des historiens, et des amis de saint Jacques apôtre et du Camino. Les Actes reproduisent et confirment à nouveau l’importance de l’hospitalité en plus d’autres thèmes abordés ; car ce deuxième congrès d’Estella fut sensible à l’importance du chant des pèlerins qu’a toujours eu le pèlerinage, produisant une impulsion de forces pour revitaliser et revaloriser « les chants authentiques des pèlerins ».

Sur cela, toutes sortes de gens intimement proches du Camino, du Pèlerinage et de la mission du pèlerin, se sont mis à l’oeuvre. Les hébergements sont nés sous toutes formes et dimensions. Les initiatives particulières essentiellement jacquaires sont tenues depuis par des hospitaliers altruistes et bénévoles, maintenant la base et l’âme du Camino, qui ont très vite assuré l’accueil à de nombreux pèlerins porteurs de créanciale.

Certains gîtes d’étape furent réalisée grâce à d’importants investissements financiers personnels et à une disponibilité de temps, grâce à un changement radical de vie de la part de leur promoteur, grâce à un patrimoine d’illusions, grâce à de nombreuses années de pèlerinage et de réflexion, dans le but de redonner force à une revitalisation des valeurs sociales en voie d’extinction dans cette nouvelle Europe qui croit que tout est dû, sans effort et sacrifice. D’autres y ont répondu comme alternative à la « crise économique de 2008 » qui affecte sérieusement les pays du sud de l’Europe.

Par conséquent, ces dix dernières années, des profiteurs de grand chemin envahissent le Camino dotés uniquement de préparation commerciale devant de nombreux marcheurs à Compostelle. La présence d’un réseau d’hôtellerie sur le Camino géré par qui recherche uniquement royalties et profits, est une forme quelque peu hostile qui déplace le rôle important des hospitaliers formés et présents sur le Camino depuis presque trois décennies. Et ceux-là détériorent profondément l’esprit essentiel du Chemin de Saint-Jacques et de son hospitalité authentique qui font l’objet de cette revitalisation sur cette route d’Europe.

Ces dix dernières années, nous observons que certains guides informatifs du même style édités dans de nombreuses langues, sans aucun contrôle ni respect dans leur contenu et descriptions concernant certains lieux d’hébergement ainsi que leurs hospitaliers, profitent d’une liberté du langage sans frontière permise en plus par nos institutions européennes, facilitent le grand développement de gîtes touristiques et autres points de vente de sommeil sur le Camino de Santiago au détriment des accueils authentiques. Et de cette façon, ces sources informatives complices adressées aux pèlerins s’assurent les bénéfices de la même manière.

Les hospitaliers d’accueils jacquaires sans but lucratif sont victimes de diffamations et confusions préméditées dont l’objectif est leur élimination. Aborderait-on une toute nouvelle interprétation de la moralité compétitive qui s’oppose avec force et assurance aux valeurs du pèlerinage existantes depuis des siècles et de ce fait égare le pèlerin de son objectif primordial ? Toute action éliminatoire, toute information discriminatrice, fausse et offensive, concernant hospitaliers et points d’accueils jacquaires, tout complot portant atteinte à leur vie privée et au droit dont ils disposent sur la publication de leur image, les pénalisent implacablement tôt ou tard.

Car ces actions-là, de critiques diffamatoires et humiliantes, aussi d’absence volontaire d’accueils jacquaires existants depuis des années ne supposent aucun investissement, ni travail, ni fatigue, ni grande disponibilité en temps, vu que publier, décrire et juger de manière néfaste et fausse sur le compte d’autrui dans sa mission et son comportement ne profite qu’à celui qui provoque son élimination avec la complicité du pèlerin-client dupé et manipulé.

Cependant, tout ce déploiement de manoeuvres en marge du sens réel – faire le chemin de Saint-Jacques – ne peut atteindre qu’une classe de gens comme des marcheurs en général, des touristes incapables de réaliser les étapes sans l’aide des services d’autobus, considérant que le bénéfice du pèlerinage sera inexistant pour eux.

La différence entre pèlerins et marcheurs ou tourisgrinos plus dominguinos et cyclisgrinos fait que les premiers suivent leur étoile intérieure qui les guide pour vivre réellement le pèlerinage et son hospitalité. Quant aux seconds, ils s’assurent en priorité les étoiles touristiques qui leur proportionnent confort au tarif économique surtout en Espagne, en marge du sens profond du pèlerinage accompagné des enrichissantes rencontres grâce à l’hospitalité jacquaire.

Mimi – Pèlerine et Hospitalière Accueil Donativo
mmaloubier@yahoo.es

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« Du chemin de Saint-Jacques au pèlerinage de la vie »
Une conférence de Gaële de La Brosse à La Roche-sur-Yon

Le vendredi 20 novembre à 20 h, à l’invitation de l’Association vendéenne des pèlerins de Saint-Jacques, Gaële de La Brosse, éditrice et journaliste, donnera à La Roche-sur-Yon (Centre Saint-Hilaire – 83 bd d’Austerlitz) une conférence audiovisuelle intitulée : « Du chemin de Saint-Jacques au pèlerinage de la vie ». En projetant des photos et en s’appuyant sur différentes interviewes (Bernard Ollivier, André Weill, Edouard Cortès, père Sébastien Ihidoy, Ji Dahai, Laurence Lacour, Léonnard Leroux), elle y montrera que les étapes du pèlerinage peuvent éclairer les différentes étapes de notre vie, et que les valeurs retrouvées au cours de cette marche sont transposables dans notre quotidien. À l’issue de cette rencontre, Gaële de La Brosse dédicacera ses ouvrages.
Conférence ouverte à tous, libre participation aux frais.
Rens. : 02 51 05 01 45 – pierre.floch@laposte.net

Message de Jean-Jacques Pagerie (gîte pèlerin de Saint-Sauvant (86), voie de Tours).
« Nous demandons ceci aux paroisses qui sont des étapes sur le chemin de Compostelle et aux autres communautés qui accueillent les pèlerins :
– sortez sur le chemin pour évangéliser ;
– accueillez tous ceux que vous rencontrerez, invitez-les à visiter vos églises, expliquez-leur la foi et l’art de vos retables ;
– ouvrez un espace de dialogue collectif, occupez-vous d’eux personnellement, répondez à leurs petites demandes logistiques, soutenez-les dans leur objectif de pèlerinage.
Invitez-les à la conversion du coeur, croyant en l’infinie miséricorde de Dieu à travers sa Parole et les sacrements.
Que la charité des oeuvres s’accompagne par la charité des paroles. »

Les évêques du Chemin Français de Chemin de St-Jacques
extrait de la lettre pastorale publiée en juillet 2015

Du nouveau à la Côte-Saint-André en Isère sur le chemin Genève – Le Puy

La Fondation d’Auteuil depuis 3 ans a confié la gestion de L’Accueil pèlerins des Apprentis d’Auteuil à L’ARA pour les mois de juillet et août. Cette année, la direction de l’établissement a proposé d’autres locaux, plus appropriés qui seront mis à notre disposition annuellement et de façon renouvelable. Un petit chez nous qui permettra une ouverture plus longue de l’accueil. Ces locaux étant désaffectés depuis une grosse décennie, le rafraîchissement et la décoration ont été réalisés par une équipe de 9 bénévoles de l’ARA en mai 2015. L’accueil est donc plus fonctionnel : le premier étage, totalement indépendant du reste de l’établissement, avec une entrée directe de l’extérieur, est composé d’une grande salle avec coin cuisine, plusieurs salles de détente, toilettes, 4 chambres sur le même palier et une dizaine de chambres à l’étage, avec dans chacune toilette et douche.
L’accueil fonctionne sur le principe libre participation aux frais avec une participation fixe pour la Fondation.
En conséquence plus d’hospitaliers seront les bienvenus en 2016 pour offrir aux pèlerins une halte bienveillante et conviviale.
Pour en savoir plus, contacter : Jacques DEBRAY : hospitalité74@gmail.com
ou Chantal Fiore : chantal-fiore@bbox.fr

Lepère éditions, 13 Le Bourg, 27270 Grand-Camp, www.lepere-editions.com

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