CAMINO
N° 163 MARS 2016
bulletinCamino@aol.com
« Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais, d’un pas ferme » (saint Augustin).
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Retrouvez les éditions Lepère au…
SALON DU LIVE DE VOYAGE
À SABLE SUR SARTHE (72, Pays de Loire)
Le DIMANCHE 24 AVRIL 2016
« Salon du livre de voyages »
Hôtel de ville, place Raphaël Elyzé,
Salle G. Mention
De 10h à 16h (buvette)
www.sable-sur-livres.com
10h–18h entrée gratuite, venez nous retrouver !
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Rendez-vous au salon Destinations nature !
Le salon des randonnées « Destinations nature » aura lieu à Paris (Porte de Versailles) du jeudi 17 au dimanche 20 mars. Comme chaque année, le stand « Chemins d’étoiles » sera consacré aux chemins de pèlerinage : chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, du Mont-Saint-Michel, de Chartres, de saint Martin, du Tro Breiz, de Saint-Gilles, d’Assise, de Rome, etc.
Le vendredi 18 mars à 15 h, une conférence intitulée « A pied et à vélo vers Chartres, sur le Chemin Charles Péguy » sera donnée par Pierre-Yves Le Priol, auteur du livre En route vers Chartres, dans les pas de Charles Péguy (Le Passeur Editeur, mars 2016), et François Haye, concepteur du Chemin Charles Péguy. Cette conférence sera suivie d’un verre de l’amitié sur le stand « Chemins d’étoiles ». Un large choix de livres sera proposé, parmi lesquels les guides des éditions Lepère. Des séances de dédicaces sont également prévues : le vendredi 18 mars, Céline Anaya Gautier (15 h – 18 h), Pierre-Yves Le Priol (16 h – 18 h), Gaële de La Brosse (16 h – 18 h) ; le samedi 19 mars, Christian Sambin (14 h 30 – 17 h), Fabienne Sauvageot (14 h 30 – 17 h) ; le dimanche 20 mars : Olivier Lemire (14 h 30 – 17 h) ; Marie-Edith Laval (14 h 30 – 17 h) ; les 4 jours : Gérard Rousse.
Du 17 au 20 mars – 10 h – 19 h (fermeture à 18 h le dimanche)
Porte de Versailles – Parc des Expositions (pavillon 4)
Renseignements : www.destinations-nature.com
Des invitations gratuites peuvent être téléchargées sur le site de Chemins d’étoiles : www.cheminsdetoiles.com
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A VENDRE en Midi-Pyrénées, sur la voie d’Arles
Dans un magnifique environnement boisé, gîte d’étape dans l’ancien hôtel du village. Situé sur la voie d’Arles, entre La Salvetat-sur-Agoût et Castres, au cœur du parc naturel régional du Haut-Languedoc (à 80 km de la mer). 370 pèlerins en 2015, nombreux travaux réalisés et réelle capacité d’extension. Rens. : Jean-Claude Carré Tél. 05 63 50 39 86 / 06 37 30 86 15.
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À Dieu et… Milesker Padre ! M. l’abbé Sébastien Ihidoy est décédé à l’âge de 83 ans dans son appartement à Cambo d’un infarctus. Né en 1932 à Estérençuby en Basse-Navarre, il fut prêtre pendant de nombreuses années en Béarn et notamment pendant vingt ans curé de Navarrenx où il a accueilli de nombreux pèlerins de Compostelle dans son presbytère. L’abbé Ihidoy fut ensuite nommé curé de Mauléon. Il était prêtre auxiliaire dans la paroisse saint Michel Garicoïts du Labourd – Cambo depuis octobre 2008. Ses obsèques ont eu lieu le mardi 9 février à 14h30 en l’église de Cambo. Que le Seigneur l’accueille dans son Royaume.
Jainko Jauna, zure zerbitzari Sébastien apezarentzat otoitz egiten dautzugu : kargu saindu bat eman diozu lur hutan, egizu, zeruan goza dezan zure aintzaren betiereko zoriona. Source : http://diocese64.org/
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Le gîte / maison HOSPITALET SAINT-JACQUES est fermé et à vendre.
Avec tout l’équipement pour 14 places et 5 chambres.
Situation: 21 rue Félix Despagnet 40800 Aire-sur-l’Adour. Au bord de la voie du Puy.
Contact: http://www.saintjacques-hospitalet.fr/pages.php?pg=8
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Pèlerinage à ST-JACQUES-de-COMPOSTELLE au départ de Dijon
Par la voie de Vézelay et le Camino del Norte – du 17 au 27 mai 2016. Avec la Confraternité des Pèlerins de St-Jacques en Bourgogne, et le Service des Pèlerinages de Dijon. Si vous souhaitez pratiquer une nouvelle forme de pèlerinage adaptée aux conditions de notre époque, oublier un temps la vie trépidante et partager avec d’autres pèlerins, alors venez : chaque jour, 10 ou 20 km de marche et le reste de l’étape en autocar (200-300 km). Ouvert à tous. Tout renseignement : Confraternité des Pèlerins de St-Jacques en Bourgogne. confraternite arobase st-jacques-bourgogne.org www.st-jacques-bourgogne.org
Service des Pèlerinages de Dijon – 03 80 63 14 65
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(Suite à un article publié dans Camino à propos de l’attribution de la Compostela au bureau des pèlerins rua Do Vilar à Compostelle.)
Bonjour Christian,
Merci de m’avoir adressé cette intervention qui relate une expérience personnelle intéressante comme des milliers de pèlerins en ont vécu. Je dois reconnaître que je me suis un peu forcé à aller plus loin que le titre (« diplôme du véritable pèlerin ou du parfait coquin ? ») et que je ne l’ai pas regretté, votre texte est intéressant – je regrette simplement votre titre qui m’a un peu choqué et qui m’a donné envie de m’arrêter là – comme tout ce qui est excessif je l’ai trouvé insignifiant et de mauvais goût, la Compostela n’est ni l’un ni l’autre.
La Compostella reprend une tradition presque aussi ancienne que le pèlerinage lui-même, correspondant au souhait des pèlerins de ramener une preuve à leurs familles, leurs amis, leurs paroisses qu’ils avaient bien effectué leur pèlerinage religieux, qu’ils étaient bien arrivés à Compostelle, avant d’en revenir par le même chemin et toujours à pied (ou à cheval pour les plus favorisés, rois, princes ou seigneurs).
Ceci s’est fait au départ sous la forme de la remise d’une coquille toute simple, ou d’un document signé par les prêtres de Saint-Jacques-de-Compostelle, et depuis quelques dizaines d’années par le document que l’on connaît, rédigé en latin, établi sous l’autorité de la cathédrale de Saint-Jacques, et attestant que ce document est remis au pèlerin dont le nom est repris parce qu’il a effectué ce pèlerinage dans un esprit religieux ou de recherche spirituelle, ou dans le cadre de l’accomplissement d’un voeu (il suffit de rechercher la traduction officielle sur le site internet de la cathédrale).
Chaque pèlerin que nous recevons et qui a bien effectué les 100 derniers km à pied ou à cheval ou les 200 derniers km à bicyclette, ceci étant déterminé par la crédentiale avec les réserves qu’on connaît, effectue lui-même cette déclaration en cochant une des trois cases proposées sur le document qu’on lui présente. (1re case : motif religieux, 2e case : motif religieux ou spirituel, 3e case : motif touristique ou sportif), tout ceci indiqué en plusieurs langues. Chaque fois qu’un pèlerin coche la 3e case, nous lui demandons de confirmer verbalement ce motif pour vérifier qu’il ne s’agit pas d’un malentendu, très fréquent (pratiquement 8 ou 9 fois sur 10). Lorsqu’il nous confirme qu’il a commis une erreur, il peut rectifier la case et nous lui remettons la Compostela. S’il nous confirme qu’il a coché volontairement la 3e case, nous lui remettons un document, également en latin mais sans mention religieuse, appelé « certificat de bienvenue ».
Tout ceci m’a toujours paru très simple et parfaitement clair, et ces instructions sont appliquées par chacune des personnes au guichet de réception rue de Vilar, pour chacun des 200 à 300 pèlerins par jour que nous avons reçu en novembre ou des 2 500 à 3 500 reçus quotidiennement en juillet ou août. Bien entendu il peut y avoir des malentendus dus à des problèmes de langue le plus souvent, ce qui paraît inévitable, mais dans des proportions infinitésimales. De là à parler d’écoeurement, de rejet, d’amertume, de désillusion, de quémander etc., comme vous le faites, il y a vraiment de la marge et ces sentiments me paraissent injustifiés et excessifs. Je vous souhaite une bonne soirée et encore beaucoup de chemins.
Bernard
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SUR LA VOIE DES PIEMONT ENTRE BEZIERS ET OLONZAC (11, AUDE)
Camins, la Bibliothèque et la Mairie de Pouzols-Minervois (chemin des Piémonts) vous invitent à La Re-Connaissance du chemin de « St-Jacques en Minervois » les 19 et 20 mars 2016. Deux jours de marche sur le projet d’itinéraire sur l’axe Capestang – Pouzols – Azille. Renseignements et réservations des randonnées, des repas du soir et hébergements à Pouzols, à l’office du tourisme du Grand Narbonne : 04 68 41 55 70. Plus d’information sur le site web : http://facebook.com/camins
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L’association « En Marche ! » organise, dimanche 13 mars 2016, une journée de réflexion sur le thème : « La marche ou l’expérience du retournement intérieur ». Vous rencontrerez des écrivains-pèlerins, des associations de marche pour jeunes en difficulté, des associations de marche ou pèlerinages, des conférenciers, des artistes plasticiens, des ateliers, des films. Six conférenciers aborderont une dimension de cette expérience : la dimension du corps (Claire Colette), la dimension spirituelle (frère J.-P. Renders et D. de Lovinfosse), les dimensions énergétique, symbolique et initiatique du chemin (Samuel François), le changement de vie (Mélanie et Bernard Delloye), la marche comme alternative pour les jeunes en difficulté (Oïkoten) et le passage par la déconstruction de soi (Sébastien de Fooz).
Cette journée mettra en valeur les associations Oïkoten, Vent Debout, Amarrage, La Pommeraie et Jorsala.
Vous trouverez le programme complet sur le site : www.forumenmarche.be 0499/44 52 66
Lieu : LSI, Bd Clovis, 87, 1000 Bxls, de 9 h à 18 h. Paf : 5 €. Inscrip.
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Après avoir parcouru une partie du chemin de Tours depuis notre domicile à Niort, puis le camino Francès, le chemin du Puy, nous venons de parcourir, mon épouse et moi, la Via de la plata et le camino sanabres. Merveilleux chemin au coeur de l’Espagne. Ce chemin est bien moins parcouru que la voie du Puy ou celle du Camino Francès. Nous rencontrions environ 8/10 pèlerins par jour, dont presque la moitié de Français. C’est un beau chemin, globalement bien fléché, avec des paysages magnifiques, de jolies villes traversées avec chacune leur histoire, et surtout des rencontres éphémères mais inoubliables.
Nous l’avons réalisé en VTT, par le chemin, à la rencontre des pèlerins, des marcheurs, des randonneurs, des touristes, des râleurs, des religieux, des mécréants… Nous avons rencontré tous ces gens, aux objectifs et aux allures bien différentes… Oui, nous l’avons fait en VTT, et je voudrais ici témoigner de plusieurs choses. S’il est vrai que beaucoup de vététistes ignorent les marcheurs, par leur vitesse et souvent sans sacoche… ce sont le plus souvent des jeunes qui veulent réaliser un temps, une moyenne, un record… Mon épouse et moi, nous avons une approche bien différente, c’est celle de côtoyer les pèlerins avec tout notre Amour. Pour ma part, je ne peux pas marcher longtemps, car problème de hanche, alors c’est le moyen de faire ce chemin au lieu de rester chez moi.
Nos vélos pèsent environ 28/30 kilos, alors pour ceux qui connaissent les chemins, vous comprendrez très vite que souvent, nous n’avons pas beaucoup d’autres choix que de marcher à pied et de pousser nos lourdes montures… Nous retrouvons alors bon nombre de marcheurs qui nous dépassent ou alors nous faisons un bout de chemin ensemble. Pour nous, pas de moyenne horaire, pas de réservation de gîte, pas d’objectif quotidien… simplement prendre le chemin. Ce chemin d’amour, car il est vrai que ces chemins sont partagés par des gens de coeur. Alors si parfois nous rencontrons des compétiteurs qui ne respectent pas les autres, des râleurs qui trouvent que rien n’est bien (repas, couchages, fléchages…) laissons les à leurs préoccupations profanes. Ce chemin de vie est tellement beau et sain qu’il ne faut y voir que les bonnes choses.
Je peux vous raconter une anecdote :
Un soir sur le chemin du Puy, nous avons partagé le dîner avec 5 ou 6 marcheurs, qui bien entendu nous ont dit que le chemin se faisait à pieds et non en VTT… j’ai essayé de leur expliquer que nous le faisions lentement pour les raisons que vous connaissez, mais rien à faire, ils restaient sur leurs positions. Ceci étant, ils n’avaient pas vu les jolies fleurs sauvages qui nous avaient accompagnés tout au long de notre journée, ils préféraient sans doute commérer en groupe sur leurs voisins. Mais le lendemain, notre surprise fut grande quand nous avons vu ces « touristes » sortir avec leurs grosses valises à roulettes qu’ils ont vite mises dans un fourgon… et de nous avouer qu’ils ne faisaient que 8 jours de chemin…
Alors ma conclusion, ne jugeons pas les autres, essayons de comprendre pourquoi ils sont là, pourquoi ils le font de telle ou telle manière et si nous avons envie de rire, alors regardons-nous simplement dans un miroir… Néanmoins, il y a une chose qui me contrarie, c’est de voir des marcheurs avec leur sac sur le dos, qui arrivent fatigués dans les auberges et qui s’aperçoivent très vite que les places sont déjà occupées par des touristes qui ont tout organisé ou encore, fait organiser leur promenade par des tour operators. C’est moins grave pour nous en VTT car nous pouvons rejoindre l’auberge ou le gîte du village suivant, et je comprends que dans certaines albergues, les marcheurs sont prioritaires. Ces quelques mots sont un simple témoignage de pèlerins à la recherche de simplicité, de fraternité, et de bonheur.
Michel et Béatrice BERTHELOT michber arobase wanadoo.fr
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Suite aux commentaires de Madame Chantal Fiore parus dans l’édition de décembre, relativement à la marche Ste-Anne-de-Beaupré / Gaspé (Québec), j’aimerais apporter les précisions suivantes :
Madame Fiore a bien raison, l’organisation de cette marche ne relève pas d’une organisation de marcheurs, mais bien de deux personnes seulement. Toutefois ces deux personnes sont nées au Québec et le connaissent dans ses moindres recoins, particulièrement en ce qui concerne le secteur de la Gaspésie. En conséquence, même s’il y avait un comité organisateur de 25 personnes, rien ne changerait au résultat ni à la logistique de l’événement.
La marche est née en 2008 à l’occasion du 400e anniversaire de Québec, et elle a été perpétuée afin de démontrer notre grande fierté d’être des Québécois survivants d’une nature hostile et inhospitalière. Cette grande réussite nous a été possible en raison de l’immense héritage reçu de nos ancêtres français, à savoir un courage sans limite et une détermination à toute épreuve. Il faut aussi préciser que l’auteur de ces lignes est la personne que Madame Fiore décrit comme étant « celle que nous n’avons jamais vue ». Et pourtant, nous avons eu de nombreux échanges avec Madame Fiore au moment de son inscription, et nous lui avons offert notre aide à plusieurs reprises afin de faciliter son arrivée et son hébergement à Québec.
Quant à notre Guide du pèlerin, il est entièrement revu à chacune des éditions et il demande un travail de plusieurs semaines car nous devons parcourir la Gaspésie en entier, parfois à deux reprises, afin de conclure ou réitérer les ententes nécessaires au niveau des hébergements et de la restauration. Madame Fiore a encore raison lorsqu’elle mentionne que la longueur des étapes mentionnées dans le guide est rarement juste.
Ce qu’elle ne mentionne pas toutefois, c’est qu’à chacune des éditions nous répétons à plusieurs reprises que la distance à parcourir quotidiennement précisée dans le guide ne représente qu’un ordre de grandeur, et que nous n’effectuerons aucune correction à ce sujet. Tous les marcheurs d’expérience savent que des travaux ou une nouvelle configuration de la route viennent fausser les données les plus précises. Donc perte de temps inutile. Quant aux hébergements en centres communautaires ou salles municipales, nous n’avons pas le choix. La Gaspésie est parsemée de petits villages qui n’ont pas tous des hôtels ou motels. Nous devons donc faire avec ce qui est disponible.
Pour une troisième fois Madame Fiore a raison. La route 132 est la seule route qui traverse la Gaspésie. Bien sûr à certains endroits la circulation y est plus dense. Mais nous n’avons jamais caché à qui que ce soit que la marche Ste-Anne-de-Beaupré / Gaspé est un exploit en dehors de l’ordinaire. Peu de gens osent affronter un tel parcours où se côtoient la chaleur extrême, le vent, le froid, la pluie intense. Vers la fin du trajet, ce sont les montagnes très abruptes qui viennent s’ajouter à tous les autres désagréments. Plusieurs marcheurs remettent leur décision en question le long du parcours. Cependant, rien de vaut la visible fierté des rares élus qui ont surmonté tous les embûches après 32 jours. Si Madame Fiore pensait traverser le Québec sur un plancher de danse, on comprend facilement sa déception.
Année après année, au moment du départ, nous expliquons à nos gens que nous entamons une aventure pleine d’imprévus. Rien n’est jamais coulé dans le béton. Ceci doit être compris et accepté par tous les participants, et l’est toujours, sauf exceptions. Madame Fiore ajoute que l’organisateur n’a pas noté ses récriminations à l’arrivée, et elle a encore raison. Nous connaissons très bien notre produit que nous peaufinons depuis plusieurs années. Il ne changera pas pour une personne insatisfaite. C’est comme ça que nous l’aimons.
Jacques Dubé, Celui que personne n’a vu. Jacques Bolduc, Organisateur principal
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Recherche gérance libre d’un gîte pour pèlerins, capacité 10-12 pèlerins, sur le chemin du Puy-en-Velay , tous les départements me vont ! Béatrice 0650475672 beatrice.beb arobase hotmail.fr
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L’association « Les petits cailloux du chemin » pour son gîte de Gramat Lot sur la voie de ROCAMADOUR, recherche des hospitaliers pour des périodes de 15 jours entre le 1er août et le 15 septembre et pour la 2e quinzaine d’octobre. Nous accueillons les pèlerins en demi-pension. Capacité du gîte : 14 personnes en chambre de 5, 4, 2, 2 et 1 personnes. Pour être hospitalier, il faut avoir fait le chemin. Adressez vos candidatures par courriel : gite.gramat arobase gmail.com ou par téléphone : 05 65 40 79 36, ou 06 81 37 09 64, ou encore 06 28 35 67 52.
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L’association des amis de St-Jacques dans le Loiret organise une rencontre pour informer sur les différents chemins – présentation d’un diaporama sur le camino del Norte – exposition sur les différents chemins.
Le Samedi 2 avril de 10 h à 18 h, Magasin Mountera, 11 rue Claude Lewy à Orléans (45100). http://compostelle45.fr/ – tél : 06 77 81 67 70
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Lepère éditions, 13 Le Bourg, 27270 Grand-Camp, www.lepere-editions.com
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