Léo Gantelet, auteur de l’ouvrage En si bon chemin… vers Compostelle, ouvre son jardin de Seynod, en Haute-Savoie, sur le thème du chemin idéal. 33 sculptures, en dialogue avec le jardin, y forment un parcours initiatique menant de l’enfance à la sagesse… Certaines de ces sculptures sont l’œuvre de Léo Gantelet, les autres sont le résultat d’une quête de 20 années.
Léo Gantelet est aussi l’auteur d’un livre, Le Chemin idéal, qui retrace l’histoire et la genèse de ce jardin. « C’est un jardin extraordinaire », comme aurait dit Trénet. Une sorte de folie où s’exprime à la fois l’amour de l’art, la quête du Graal, la nostalgie du Paradis Perdu… Un chemin de vie qui se faufile à travers un peuple de sculptures chargées de symboles et de sens.
Il nous fait vivre ses coups de cœur, ses intuitions, ses enchantements à travers ses découvertes, comme le site de Carrare et le village de Pietra Santa, la fondation Carzou et « le choc de Manosque », la villa San Michele et l’indicible beauté de Capri…
Chemin de pierre, chemin intérieur, chemin vers l’idéal… c’est à ces promenades multiples que nous invite l’auteur.
Léo Gantelet était homme d’affaires. À 44 ans, il change sa vie : il ouvre une galerie d’art et commence à écrire. Il est l’auteur de quatre recueils de poésie, d’un roman et d’un livre illustré de photos sur la Haute-Savoie, son pays natal. Puis, quelques années après son pèlerinage à Compostelle (qu’il relate dans le livre : En si bon chemin… vers Compostelle paru chez les éditions Lepère), il effectuera celui de Shikoku, l’île aux 88 Temples au Japon (présenté dans l’ouvrage : Shikoku, les 88 Temples de la Sagesse).
Le Chemin Idéal est ainsi le troisième volet de son triptyque sur le thème du Chemin.
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